Deux soli, deux pièces électroacoustiques autonomes, fruit de la rencontre de deux compositrices nantaises. Dans « Tendre est l’instant qui se tend », Soizic Lebrat, en compagnie d'Anne-Laure Lejosne à l'électronique, s’intéresse à la fabrication du son, oscillation qui naît de la tension et du frottement de l’archet sur les cordes détendues de son violoncelle. Dans « Briser la nuit », Aude Rabillon joue avec des sons concrets et électroniques pour explorer les lames de fond, les strates de temps et leur épaisseur.