La Nuit du Van : Teto Preto + Idlibra + Soa4120

Le Lieu Unique rejoint la Nuit du VAN avec une nocturne électronique marquée par les performances explosives et hypnotiques du collectif brésilien Teto Preto, les voyages sonores expérimentaux de la DJ et activiste de la scène électronique brésilienne Idlibra, et les sets incendiaires de Soa420 mêlant techno et sonorités globales. Venez célébrer la nuit nantaise et ses vibrations intenses.

Teto Preto (Sao Paulo) 
Affûté et insatiable, Teto Preto emmène un son audacieux et performant vers de nouveaux paysages musicaux et réaffirme son identité avec son nouvel album. FALA est le titre de cette collection de huit titres originaux et d’un remix, annonçant un récit viscéral et puissant. Le groupe est composé de Carneosso au chant, Entropia à la guitare et à l’électronique, et Marian Sarine aux percussions et à la basse. Le deuxième album du groupe guide les auditeurs à travers un voyage sensoriel, naviguant sur des rythmes tels que le dubstep, la drum’n’bass, le garage, l’acide, le reggaeton et même l’hyperpop. Comme le dit Carneosso : « FALA est la première arme de l’humanité, un récit sur la position et le pouvoir, né de la violence de son espace-temps. »

Idlibra (Recife) 
Idlibra est le projet musical de Libra Lima, artiste transdisciplinaire et curateur indépendant originaire du nord-est du Brésil. Co-commissaire au festival Coquetel Molotov, Idlibra est DJ depuis 2016 et fait partie de la scène émergente de son pays. Reconnue pour son identité sonore boisée et fougueuse, elle utilise la musique électronique comme base de sa recherche, qui flirte avec des courants de bass music, d’afrobeat, et les courants les plus variés du funk brésilien, construisant une atmosphère énergique et imprévisible avec élégance et versatilité.

Soa420 (Nantes) 
Née au sein d’une famille musicienne franco-malgache, Soa420 grandit entourée de sonorités afrobeats, r’n’b et reggae. C’est ainsi pour restituer un héritage familial qu’elle aborde les thématiques de l’identité afro-descendante et l’impact des minorités dans les musiques électroniques. Basses caverneuses, breakbeat percutant, dancehall langoureux ou trap sombre : un croisement des genres à l’image de sa pluralité culturelle.