
Après avoir découvert les textes de poétes·ses qui osent se raconter sans filtre, les participant·es piochent et rassemblent des mots et images pour esquisser un autoportrait rugissant. Suivant l’exemple de ces artistes aux écritures crues, chacun·e utilise la technique du collage pour se définir, décrire les maux et sensations qui l’agitent et mettre en forme des listes qui sonnent comme des incantations...
Diane dit des textes à voix haute comme des sortilèges pour s'ancrer IRL – in real life. Ça parle souvent de peau, de décoction de lumières, de maison bien rangée. Ses ateliers d’écritures font cohabiter la poésie, le collage et le dessin.
