Bien décidé à défier le cycle de la vie et à réconcilier l’humain avec la fatalité de son destin, Philippe Quesne convoque sur scène squelettes dansants, spectres virevoltants et une petite quinzaine de pianos jouant follement une musique d’outre-tombe. Avec cette fête foraine crépusculaire, il exorcise nos angoisses sans tragédie ni larmes.