Le numérique révolutionne l’ensemble de nos manières de produire et d’interagir avec notre environnement, mais à mesure que son omniprésence s’intensifie, la réalité des bénéfices qu’il procure entre en friction avec les besoins énergétiques qu’il génère et son impact écologique. La réponse à cette question réside-t-elle dans les low techs (par opposition aux high techs) ? Les technologies douces peuvent-elles répondre aux principaux besoins sociétaux afin que nous puissions être moins dépendants de technologies complexes, sophistiquées, coûteuses, ayant un impact élevé sur la consommation de ressources ?